366/105 - Aujourd'hui (28 avril), le confort c'est...

de fermer les portes de l'appartement et se dire, l'air de rien, que dans une semaine et deux jours on les rouvrira en compagnie de la Basquerie. C'est se dire aussi qu'on peut laisser la brosse à dents dans le verre à dents, le réfrigérateur en marche et qu'on retrouvera la glace laissée dans le freezer et que l'Ado a oublié de manger. Toute la question est de savoir si une semaine et deux jours plus tard, elle sera mangeable... compte tenu de la qualité du frigo. Glurps.

J'ai rêvé de ce lieu pendant des années... et je l'ai fait. La réalité n'a pas dépassé mon rêve, mais elle s'en est rapprochée de très très près. Dès vendredi de la semaine prochaine, une fois le four et le nouveau réfrigérateur installés, il ne restera plus que la déco à parfaire (euh, à faire, les murs sont vides de chez vides), mais tout le reste sera en place, douillet, confortable et rassurant.

Je rêve, à présent, d'y passer quelques heures en amoureux, n'ayant rien d'autre à faire que de profiter de la douceur de ses bras. Il faut dire que j'ai vécu des heures particulièrement heureuses, dans un autre contexte, voilà près de quatre ans. Le confort, c'est également de me dire que je sais que ce sera un jour, pas forcément avec celui auquel je pense actuellement, mais que ce sera.

La question est juste, c'est quand, maintenant, le confort ?