Le rêve de cette nuit, en lien assurément avec l'automne....
J'ai passé un excellent week-end. Ce n'est pas toujours le cas, mais vraiment, ce week-end, c'était chouette. J'ai l'impression que l'Homme dont je partage la vie a eu un déclic suite à ma dernière mise au point, j'ai aimé notre petit déj au lit samedi matin, mon temps à moi de samedi aprèm, cuisiner ensemble hier matin pour recevoir sa cousine, et notre long moment jacuzzi hier en fin d'après midi. Bref, c'était un chouette week end, la seule ombre au tableau était la nuit de vendredi à samedi où j'avais peu, et mal dormi, mais la sieste de l'aprèm l'avait effacée.
C'est donc sereine que j'ai éteint la lumière hier soir...
Une heure du mat', je ne dormais toujours pas, le cerveau en surchauffe sur mon nombril.
Deux heures du mat', réveillée en sursaut, j'arrivais à proximité de chez mes parents, à pied, et il y avait du monde partout. Toutes les maisons sur la route étaient occupées, c'était joyeux, c'était festif, et j'étais heureuse...
Dans le pré derrière la maison, il y avait plein d'enfants, dont ceux de mon cousin, mais alors qu'ils sont adultes aujourd'hui, ils étaient redevenus enfants, et jouaient tous ensemble.
Trois heures et demies du mat', réveillée à nouveau en sursaut : tous ces enfants s'amusaient à plonger. Je rappelle, juste, qu'il n'y a évidemment ni mer ni océan en Limousin, mais qu'à proximité immédiate de chez mes parents, il n'y a pas, non plus, de lac ou d'étang. Mais tout le monde plongeait... et ils continuaient à être heureux, il y avait beaucoup de joie, beaucoup de bruit...
Quatre heures du mat', à nouveau je regarde l'heure... Je plongeais moi aussi, et avec l'aide d'une jeune femme, inconnue mais au corps de sirène, nous étions chargées de remonter des cercueils qui gisaient au fond de l'eau.
Je ne me suis plus réveillée... sauf lorsque le réveil a sonné, et je crois que j'ai préféré...
Edifiant, mon cerveau, non ?...